Après reconstitution du signal numérique NRZ et récupération des cadences
d'horloge (Clock) et des mots 8 bits (Word Clock), les bits
sont mis en parallèle pour reconstituer les mots de 8 bits résultant de la
quantification du signal analogique initial. Comme il se peut qu'il y ait
eu des erreurs de transmission, il y a un dispositif "détecteur et
correcteur", chargé d'abord de tester la véracité du message reçu (qui est
une vérification de la règle établie lors du codage de Hamming) et ensuite,
éventuellement, de localiser le bit erroné. Comme il suffit de connaître la
position du bit erroné pour le corriger (puisque, si un bit est faux, son
complémentaire est correct, le bit ne pouvant prendre que deux valeurs!),
l'on obtient ainsi facilement des messages correctement transmis (bien
entendu, cela n'est valable que s'il n'y a qu'une seule erreur, et non
plusieurs...).
Enfin, l'on notera que ce dispositif est facultatif sur la maquette et qu'il peut être mis en fonctionnement simplement grâce à un commutateur trois positions. Aussi, pour que le signal initial soit correctement transmis en final, il est bon que les deux commutateurs trois positions des ensembles "émetteur" et "récepteur" occupent la même position, cela, notamment, afin de ne corriger le message que s'il y a eu effectivement codage de Hamming auparavant, ou de ne vérifier la parité que si celle-ci a été insérée au préalable...